5 – Piège de la DACG : ma porte est défoncée et on me convoque devant un psychiatre

Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État.
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Par lionel, 18 juin, 2020


[Sommaire]
<< 4 - Des personnes en réseau m'appliquent des sanctions
>> 6 - Le parquet me fait parvenir de faux documents

 

La franc-maçonnerie organisée en réseau au sein du ministère de la Justice, DACG

Entre 2012 et 2013, j'ai eu quelques échanges avec le ministère de la Justice. Au début, j'écris à la ministre Christine Taubira, mais il est clair qu'elle délègue sa signature à d'autres personnes chargées de répondre.

Mon interlocuteur devait être M. Pion. Je découvrirai plus tard, au son de sa voix, que ce n'était pas lui, qui est âgé alors que la voix de mon interlocuteur était jeune, mais Olivier Rabot, « chef du bureau de la police judiciaire », à la Direction des affaires criminelles et des grâces, DACG. Ce service est inconnu pour nous simples citoyens, mais c'est carrément une institution qui date de plus de 150 ans… On remarquera au passage qu'il est étrange qu'au sein du ministère de la Justice il y ait un « chef » qui puisse commander des policiers en court-circuitant les procureurs.

Le 10 avril 2014, devant le blocage de mon affaire, j'appelle donc cette personne que je crois être M. Pion. Nous discutons plus d'une dizaine de minutes, mais la conversation n'avance pas. c'est alors que je mentionne le problème de la franc-maçonnerie au sein des juridictions d'Aix-en-Provence. la voix de mon interlocuteur fléchit, m'annonce qu'on va me répondre et raccroche.

 

Ma porte défoncée devant des policiers qui « ne voient rien »

Exactement un mois et un jour plus tard, le dimanche 11 mai 2014 dans l'après-midi, alors que je suis seul chez moi, un individu défonce ma porte, fait quelques pas dans mon hall. Je suis face à lui à quelques mètres, puis il ressort dans la rue où il rejoint un groupe de 3 personnes. Je sors également.

piège

Mais j'aperçois alors deux personnes en civil, un homme d'une cinquantaine d'années et une femme autour de la trentaine, en planque dans un véhicule à « plaque administrative » immatriculé dans le 06 (Alpes-Maritimes, département non-adjacent aux Bouches-du-Rhône). Par simplification, je dirais que ce sont des policiers en civil, tout en gardant à l'esprit qu'il peut encore s'agir de gendarmes ou de douaniers avec ce type de véhicule.

Lorsque je les interroge, car ces sont des agents qui peuvent encore arrêter l'homme qui m'a défoncé la porte et qui se trouve à une cinquantaine de mètres, le policier me déclare : « Monsieur, ce n'est pas ce que vous croyez, il ne s'est rien passé ! »

Je vais assez rapidement comprendre la menace proférée par l'agent Bovo deux ans plus tôt : si je persiste, je vais être condamné pour dénonciation calomnieuse ou de faits imaginaires.

Maintenant je comprends le piège, qui n'est pas lié à mes plaintes passées. Ces gens montent à mon encontre un piège imparable : ils attendent que je porte plainte contre X pour ma porte défoncée, et à ce moment-là, les deux agents en planque renouvelleront leur mensonge : « M. Aubert invente, il ne s'est rien passé, nous étions sur place au moment des faits ». Et que pèseront mes paroles face à ces deux agents assermentés ? Rien, je serai condamné pour dénonciation de faits imaginaires.

Puis les policiers étendront leurs accusations à mon encontre à ma dénonciation de l'extorsion, qu'ils feront passer comme un faux rapt, en insistant pour me faire condamner.

 

Demande de préservation des enregistrements de caméra de vidéo-surveillance

J'ai la chance, dans mon malheur, que les faits se soient déroulés sous une caméra de vidéo-surveillance. Je vais donc demander la préservation des enregistrements entre 15 h 30 et 16 h ce jour là.

 

Refus de la Matmut, mon assistance juridique

Je fais appel à mon assurance juridique, la Matmut.  Un conseiller me reçoit. Celui-ci va prétexter que je ne dispose pas des enregistrements de vidéo-surveillance (normal, je les demande…) pour affirmer qu'il n'y a pas de preuve, et donc refuser de m'aider. Le raisonnement est complètement tordu, ce n'est en réalité qu'un faux prétexte.

Il faut savoir que les francs-maçons infiltrent plusieurs mutuelles, et il semble qu'à la Matmul, ils ne fassent pas exception. Entre « frères », ils savent reconnaître les affaires louches et se protègent entre eux. Je détaille sur la page web matmut-scandale.com.

 

Mes demandes auprès de la DGPN : refus implicite

Je demande au siège parisien de la Direction générale de la police nationale la préservation de ces enregistrements. En vain. Au bout d'un mois, ils sont effacés.

 

Après l'effacement des vidéos, une policière me convoque devant un psychiatre

Quatre mois après l'effacement de l'enregistrement, une brigadière-cheffe du commissariat d'Istres, Céline Viciana, me convoque… devant un psychiatre.

C'est la suite du piège qui ma été tendu : on me monte une histoire bizarre ou incroyable, celle d'un homme qui fracture ma porte pour ne faire que 2 pas dans mon couloir, afin que, lorsque je m'en plains, les gens se retournent contre moi avec cet argument de stupidité : « mais pourquoi voulez-vous qu'on vous fracture la porte ? » et ils m'envoient alors chez un psychiatre.

convocation de Viciana en psychiatrie

Je n'ai pas besoin de passer devant un psychiatre pour savoir si oui ou non un homme a défoncé ma porte quelques mois plus tôt.

Cette policière est également qu'une simple brigadière. Ce n'est pas péjoratif, je souligne juste que ce n'est pas une personne gradée, ce n'est pas un commissaire. Elle est « officier de police » OPJ, mais ce n'est pas un grade, ce sont juste quelques personnes autorisées à mener des enquêtes, parce que l'État n'a pas assez d'argent pour payer des gradés, alors ils ont créé ce statut.

Donc je ne me rends pas à cette convocation, ni à la convocation suivante qui va être émise.

 

Notions assez importantes à comprendre pour savoir comment réagir

  • 1 - Arrêter de subir les ordres imbéciles

Il faut arrêter de « subir » les bêtises de quelques personnes qui détiennent un certain pouvoir. Ça a beau être une simple policière, son uniforme ou sa fonction peut impressionner plusieurs personnes, qui sans réfléchir, vont tomber dans le panneau, genre « Ah ! La police m'a convoqué chez le psychiatre, c'est grave, je vais y aller parce que je suis obligé ». Non, personne ne vous oblige, si vous faites un peu marcher votre cerveau vous devrez vous apercevoir que si on vous envoie chez un psychiatre, qui n'était pas là le jour des faits (quand on m'a défoncé la porte), cet homme ne pourra absolument pas vous aider.

Vous attendriez quoi, qu'il vous fasse une déclaration comme quoi vous êtes sain d'esprit ? Eh bien non, il ne vous fera jamais cette attestation, pour la simple raison qu'une personne saine d'esprit ne va pas chez un psychiatre. Si une personne se rend chez un psychiatre, c'est qu'elle a quelques problèmes mentaux.

 

  • 2 - Comprendre que ces gens ne sont pas « francs » et qu'ils se cachent derrière de faux prétextes

Francs-maçons ou pas, les gens qui utilisent des réseaux contre vous, ou qui veulent vous piéger, ne montrent pas la vraie raison mais affichent toujours un faux prétexte.

Quand la première policière, Sylvie Bovo, me menaçait de prison pour dénonciation de faits imaginaires, ce n'était pas pour l'affaire de l'extorsion en 2008, mais c'était pour le montage d'un nouveau piège, celui avec ma porte défoncée.

De même, quand le travailleur social du département, Kamal Hatrouhou, me tend un piège avec la fausse convocation, il n'affiche pas la vraie raison qui est celle de me punir pour m'être rendu au parquet malgré l'interdiction.

Il va en être de même avec la convocation de la seconde policière, Céline Viciana. Elle va faire semblant d'enquêter sur un sujet divers, mais elle cache ses vraies motivations, entre autre le classement sans suite de la plainte que j'ai déposée contre sa collègue Bovo.

 

Des personnes extérieures à l'affaire initiale se greffent : le maire Bernardini

À ce stade, il ne s'agit que d'une remarque que j'approfondirai. Durant l'été 2014, donc après l'opération de la DACG, et dans un cadre totalement, j'ai empêché le maire d'Istres, François Bernardini, de raser partiellement un espace boisé protégé pour étendre un projet immobilier. L'année suivante, en 2015, je gagnerai devant le Conseil d'État dans cette affaire.

Mais en septembre 2014, le maire fait un esclandre à propos d'une vidéo que j'ai postée sur Youtube, où je mettais en garde contre la coupe des arbres sur 10.000 m2 (à 200 à 300 euros le m2 constructible à Istres, l'affaire portait sur 2 à 3 millions d'euros). Durant une vingtaine de minutes en plein conseil municipal, à 22 h, il se plaint de différents blogueurs, toutefois sans me nommer. Il conclut en expliquant qu'il a porté plainte devant le parquet d'Aix. Le lendemain dès 8 h du matin, c'est cette même policière, Céline Viciana qui m'appelle pour me convoquer.

Bernardini n'est pas à l'initiative du piège de la porte défoncée, puisque ces faits sont antérieurs à l'affaire de la pinède. En revanche je suis certain qu'il s'est greffé sur cette affaire, certainement pour rajouter une couche à mon encontre. François Bernardini est franc-maçon.

 

Pour aller plus loin...

>> Détails sur le piège avec des policiers en planque

 

<< 4 - Des personnes en réseau m'appliquent des sanctions
>> 6 - Le parquet me fait parvenir de faux documents